VENDREDI 26/ SAMEDI 27 DECEMBRE:
Avec toute la quincaillerie et de quoi tenir un siège, avec Cyril nous montons en raquette au refuge des Oulettes de Gaube. Après le lac et ses isards à collier jaune, pas de trace. Une personne est au refuge, poêle allumé et planche découpées avec les scies laissées par Jean-Thomas, gardien du refuge, on apprécie. Lever à 5h, on file vers la face direction la goulotte Lechêne. Au petit jour, après une progression pénible, déception, rien n'est bien formé. Le départ de la goulotte est sec, le reste peu fourni. Redescente donc, inspection des lieux: les séracs sont bien sur faisables, pour le reste (Lechêne, Tagada tic-tac, Arlaud-Souriac, Gaube, goulotte des Espagnols...) faudra revenir. On décide donc de se rabattre sur les cascades de Gavarnie.
Avec toute la quincaillerie et de quoi tenir un siège, avec Cyril nous montons en raquette au refuge des Oulettes de Gaube. Après le lac et ses isards à collier jaune, pas de trace. Une personne est au refuge, poêle allumé et planche découpées avec les scies laissées par Jean-Thomas, gardien du refuge, on apprécie. Lever à 5h, on file vers la face direction la goulotte Lechêne. Au petit jour, après une progression pénible, déception, rien n'est bien formé. Le départ de la goulotte est sec, le reste peu fourni. Redescente donc, inspection des lieux: les séracs sont bien sur faisables, pour le reste (Lechêne, Tagada tic-tac, Arlaud-Souriac, Gaube, goulotte des Espagnols...) faudra revenir. On décide donc de se rabattre sur les cascades de Gavarnie.
On redescend au refuge, d'ou nous observons notre colocataire de la nuit s'élever péniblement jusqu'au col des Oulettes. Enfourchant son surf pour redescendre, il se fait embarquer par une plaque, heureusement sans conséquence pour lui, puis nous admirons les courbes gracieuses tracées dans la pente. Continuant sous le refuge, nous lui emboitons le pas et juste dans le ressaut en contrebas, le surfeur déclenche une seconde plaque...sans dommage. Nous regagnons le pont d'Espagne puis Gavarnie ou Joseph et sa femme nous accueillent au refuge des granges d'Holle.
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