20 août 2009
Ascension au pic d'Estaragne
Ascension au pic d'Estaragne
Avec Catherine Bujadoux, Jean-Louis Ladagnous et Gilles Deloison
Joli saxifrage paniculé
Vue sur le Campbieil
Avec Catherine, Gilles et Jean-Louis au sommet d'Estaragne
Pour la visite annuelle à Estaragne, Jean-Louis fait suivre la voie normale à Catherine et Gilles qui ne l'ont jamais gravit. Je farfouille dans la muraille de l'Alharisès, ou je trouve quelques beaux spécimens de saxifrages. A l'arrivée dans le pierrier sous le col d'Estaragne, ils filent tous trois sur la sente bien marquée sur la gauche. Quant à moi, histoire de changer d'itinéraire, je m'élève dans le pierrier jusqu'à mi hauteur du col. Ensuite, je gagne le point culminant de la crête entre le col et le pic, en empruntant au dessus des éboulis noirs un couloir évident s'élevant de droite à gauche dans la petite face qui domine. Mauvais rocher au début, puis meilleur quand la pente se redresse, je pose un peu les mains (II). Je débouche finalement sur le sommet de la crête, redescends légèrement (I+), avant de gagner le sommet(2h15) de l'Estaragne par la crête ou les autres me rejoignent bientôt. Nous ne sommes pas seul, le paysage est bien connu, personne ne veut poursuivre jusqu'au Campbieil, sniff.
Redescente hors sentier le plus possible, dans les pentes d'éboulis propices au ski d'été (1h20)...
Pour la visite annuelle à Estaragne, Jean-Louis fait suivre la voie normale à Catherine et Gilles qui ne l'ont jamais gravit. Je farfouille dans la muraille de l'Alharisès, ou je trouve quelques beaux spécimens de saxifrages. A l'arrivée dans le pierrier sous le col d'Estaragne, ils filent tous trois sur la sente bien marquée sur la gauche. Quant à moi, histoire de changer d'itinéraire, je m'élève dans le pierrier jusqu'à mi hauteur du col. Ensuite, je gagne le point culminant de la crête entre le col et le pic, en empruntant au dessus des éboulis noirs un couloir évident s'élevant de droite à gauche dans la petite face qui domine. Mauvais rocher au début, puis meilleur quand la pente se redresse, je pose un peu les mains (II). Je débouche finalement sur le sommet de la crête, redescends légèrement (I+), avant de gagner le sommet(2h15) de l'Estaragne par la crête ou les autres me rejoignent bientôt. Nous ne sommes pas seul, le paysage est bien connu, personne ne veut poursuivre jusqu'au Campbieil, sniff.
Redescente hors sentier le plus possible, dans les pentes d'éboulis propices au ski d'été (1h20)...
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